Pour trouver un équivalent français à ce mastodonte public russe, il faudrait additionner le Commissariat à l’énergie atomique, Areva et EDF
Elektrostal, à une cinquantaine de kilomètres à l’est de Moscou. Une ville qui doit son nom à son passé sidérurgique, interdite aux étrangers à l’époque soviétique. C’est là que furent réalisées les barres d’uranium de la première centrale nucléaire russe, en 1954. Et c’est là qu’aujourd’hui encore, TVEL, une des filiales de Rosatom, l’Agence (...)