L’ancien directeur de Greenpeace France, devenu le monsieur environnement de Ségolène Royal était hier à Bure. Sans vraiment convaincre les opposants.
Jean-Marc Fleury (à droite), comme les autres,
aurait aimé entendre Bruno Rebelle (troisième
en partant de la gauche) dire : « On stoppe Bure ».
Pas de doute. La Coordination nationale des élus opposés à l’enfouissement des déchets radioactifs présidée par le Meusien Jean-Marc Fleury a la hargne quand il s’agit de faire connaître aux (...)