Après le démantèlement industriel, place aux négociations du plan de 3.600 suppressions de postes en France.
Manifestation de salariés, mardi dernier, devant la tour du siège d'Areva, à la Défense (Hauts-de-Seine). (Yann Foreix/Maxppp)
Sauve qui peut chez Areva. Le géant du nucléaire a entamé une restructuration inédite après avoir perdu 4,9 milliards d'euros en 2014. Cet été, il a acté son démantèlement industriel en vendant ses activités de fabrication de réacteurs à EDF. (...)