Faute de pouvoir choisir entre EDF et GDF Suez pour construire le deuxième réacteur nucléaire de dernière génération, le chef de l’Etat pourrait finalement décider d’en attribuer... un à chacun. Reste à trouver l’argumentaire qui justifierait cette option aux yeux de l’opinion publique, alors même que la nécessité d’un deuxième EPR est loin d’être démontrée.
Entre les deux, son coeur balance. Faute de pouvoir trancher entre EDF et GDF Suez pour la construction du deuxième EPR français, (...)