En 2014, une famille de Bessines était avertie qu’elle vivait sur des stériles d’uranium. Elle a depuis été détruite (c) Brigitte AZZOPARD
Après le scandale de la maison « radioactive » de Bessines-sur-Gartempe, la CRIIRAD (1) dénonce l’inertie des pouvoirs publics et un protocole biaisé où Areva serait « juge et partie ».
De « la maison radioactive », il ne reste plus rien. Un simple carré d’herbe clôturé, qui comme l’arbre et la forêt, ne cache plus grand-chose. Ici vivait une (...)