PARIS - Cancer, cataracte, problèmes cardiovasculaires ou immunitaires...Différentes pistes doivent être étudiées à l’échelle européenne pour découvrir les possible effets sur la santé de faibles doses de rayonnements ionisants d’origine naturelle, médicale ou industrielle.
"On ne comprend pas bien la réponse de l’organisme à des faibles doses de rayonnements ionisants", a souligné mercredi le directeur général de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Jacques Repussard.
Au-delà du (...)