Radioactivité. Que reste-t-il de l’uranium dans le Trégor ?
Article publié le 22 janvier 2014
Lundi, Sortir du nucléaire a informé la population sur les dangers des anciens forages effectués pour trouver de l’uranium dans le Trégor.
Des taux de radioactivité huit fois supérieurs à la norme ont été récemment prélevés sur divers sites du Trégor par l’association Sortir du nucléaire. Le collectif en est persuadé : trois mines d’uranium ont été exploitées dans les années 1950 à 1970.
Les militants, inquiets de l’éventuel impact sanitaire de ces supposés gisements d’uranium, ont informé la population locale sur les dangers de la radioactivité, lors d’une réunion qui s’est tenue lundi soir. 80 personnes étaient présentes.
Ce lundi, les militants ont également posé une pancarte signifiant la présence d’une forte radioactivité sur le site lannionnais de Kériel où passe le Léguer, en dessus de Traou-ar-ru.
Dans ce dossier délicat, Areva dément toute activité d’exploitation uranifère. La compagnie reconnaît « des recherches et des prospections ».
De son côté, l’Agence régionale de santé a publié un communiqué, hier. « Aucune eau n’est contaminée en Bretagne », y compris dans les anciens sites miniers uranifères.
Des taux de radioactivité huit fois supérieurs à la norme ont été récemment prélevés sur divers sites du Trégor par l’association Sortir du nucléaire. Le collectif en est persuadé : trois mines d’uranium ont été exploitées dans les années 1950 à 1970.
Les militants, inquiets de l’éventuel impact sanitaire de ces supposés gisements d’uranium, ont informé la population locale sur les dangers de la radioactivité, lors d’une réunion qui s’est tenue lundi soir. 80 personnes étaient présentes.
Ce lundi, les militants ont également posé une pancarte signifiant la présence d’une forte radioactivité sur le site lannionnais de Kériel où passe le Léguer, en dessus de Traou-ar-ru.
Dans ce dossier délicat, Areva dément toute activité d’exploitation uranifère. La compagnie reconnaît « des recherches et des prospections ».
De son côté, l’Agence régionale de santé a publié un communiqué, hier. « Aucune eau n’est contaminée en Bretagne », y compris dans les anciens sites miniers uranifères.