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Le CRIN (Comité Régional d’Information sur le nucléaire)

Présentation

Article publié le 17 juillet 2007



 

L’histoire du CRIN :

Un soir de l’année 1976, suite aux idées du gouvernement d’entreprendre une politique d’une production d’énergie du tout nucléaire, une bande de joyeux lurons décide de se faire entendre. Aussi, la côte vendéenne était dans les tablettes pour certains sites en vue d’y faire pousser de belles centrales nucléaires.

Alors, des Comités Locaux d’Informations sur le Nucléaire (CLIN) se sont créés afin de donner à la population des connaissances sur l’énergie nucléaire et ses conséquences. En parallèle, le même dispositif était présent en Loire Atlantique, d’où l’idée de fédérer le tout en créant le CRIN (Comité Régional d’Informations sur le Nucléaire).

Les projets d’implantations locaux furent abandonnés et la mort logique des CLINs fut amorcée. Cependant une bande d’irréductibles militants bien qu’affaiblie par peu de soutien, maintenait en vie le CRIN. Effectivement, le nucléaire n’est pas seulement un danger pour les proches habitants mais bien un problème planétaire (n’ayons pas peur des mots).

Malheureusement le CRIN avait raison, la catastrophe tant redoutée arriva le 26 avril 1986 à la centrale de Tchernobyl. Malgré les affirmations de nos responsables, la radioactivité ne s’arrêtait pas aux frontières. Les hommes pour un souci économique mettaient et mettent en péril l’écosystème de notre planète. Les activités du CRIN reprirent avec peut-être le sentiment d’agir toujours quand il est trop tard, bien malgré eux.

C’est pourquoi le CRIN restera vivant ou survivant tant que des irresponsables utiliseront le nucléaire.

 

Le Crin compte une dizaine d’adhérents.

 

L’histoire du CRIN :

Un soir de l’année 1976, suite aux idées du gouvernement d’entreprendre une politique d’une production d’énergie du tout nucléaire, une bande de joyeux lurons décide de se faire entendre. Aussi, la côte vendéenne était dans les tablettes pour certains sites en vue d’y faire pousser de belles centrales nucléaires.

Alors, des Comités Locaux d’Informations sur le Nucléaire (CLIN) se sont créés afin de donner à la population des connaissances sur l’énergie nucléaire et ses conséquences. En parallèle, le même dispositif était présent en Loire Atlantique, d’où l’idée de fédérer le tout en créant le CRIN (Comité Régional d’Informations sur le Nucléaire).

Les projets d’implantations locaux furent abandonnés et la mort logique des CLINs fut amorcée. Cependant une bande d’irréductibles militants bien qu’affaiblie par peu de soutien, maintenait en vie le CRIN. Effectivement, le nucléaire n’est pas seulement un danger pour les proches habitants mais bien un problème planétaire (n’ayons pas peur des mots).

Malheureusement le CRIN avait raison, la catastrophe tant redoutée arriva le 26 avril 1986 à la centrale de Tchernobyl. Malgré les affirmations de nos responsables, la radioactivité ne s’arrêtait pas aux frontières. Les hommes pour un souci économique mettaient et mettent en péril l’écosystème de notre planète. Les activités du CRIN reprirent avec peut-être le sentiment d’agir toujours quand il est trop tard, bien malgré eux.

C’est pourquoi le CRIN restera vivant ou survivant tant que des irresponsables utiliseront le nucléaire.

 

Le Crin compte une dizaine d’adhérents.