Faire un don

Sortir du nucléaire n°56



Hiver 2012-2013

Tous à Paris le 9 mars 2013 !

"Pourquoi j’irai à la chaîne humaine"

Article paru dans la revue Sortir du nucléaire n°56 - Hiver 2012-2013

 Luttes et actions


Pourquoi venir à la chaîne humaine ? Voici des réponses de sympathisant-e-s...



"Se réapproprier l’énergie..."

Je serai présent le 9 mars 2013 parce que j’ai l’intime conviction que non seulement la France peut sortir du nucléaire en 10 ans mais que nous citoyens devons l’imposer à nos dirigeants. Je désire que les citoyens français se réapproprient les choix énergétiques de leur pays. L’actuelle conférence sur l’énergie n’est qu’une vaste fumisterie... Je ne compte pas sur les têtes bien pensantes (souvent nucléocrates) pour infléchir les politiques énergétiques de notre pays. Sur les questions énergétiques, UMP et PS c’est la même chose. Nous devons avoir le droit de choisir l’énergie que nous consommons. Se réapproprier l’énergie, pour consommer moins mais aussi pour consommer mieux ! Je participerai à la réaction en chaîne humaine le 9 mars 2013 à Paris pour offrir à nos enfants un avenir radieux... mais sans nucléaire ! *

Étienne (Jura)


"Hier j’étais pro-nucléaire..."

Hier j’étais pro-nucléaire. Aujourd’hui je suis informé. Demain, nous serons davantage à être éclairés. Nos pas sont de plus en plus grands et vaincront l’inertie. *

Clément


Le 9 mars, je vais à la chaîne humaine parce que les gouvernements, quelle que soit leur couleur politique, continuent à favoriser le lobby du nucléaire alors que l’atome n’a rencontré qu’échecs et périls sur tous les plans - énergétique, financier, technique, sanitaire, environnemental et humain. Passons tout de suite aux économies d’énergie et aux énergies renouvelables, place au bon sens !

Sophie (Asnières-sur-Seine)


"Je travaille dans une centrale nucléaire et..."

Ce qui me pousse et me motive à vous soutenir ou participer à la chaîne humaine, c’est tout simplement parce que je travaille dans une centrale nucléaire, et que je suis très bien placé pour savoir comment se passent réellement les choses. Il suffit de vous pencher sur mon blog (https://sondage-et-discussion.blogspot.fr) pour comprendre les conditions de travail de ces personnes qui n’ont d’autres ressources que de se résigner pour garder leur emploi pour faire vivre leur famille. Le problème, c’est que parmi ces hommes comme ces femmes beaucoup trop finissent par tomber malades et qu’ils sont hélas souvent ignorés, non reconnus ou mis à l’écart....

Éric


"Réfléchir sur les finalités de la production d’énergie"

Je vais à la chaîne humaine le 9 mars pour dénoncer tant et plus cette technique dangereuse, polluante, toujours prête à péter - et inutile. Sachant que c’est un certain état d’âme qui fait émaner une technique comme le nucléaire, et qui fait qu’elle est imposée par l’État, si besoin de manière violente : l’état d’âme désigné par le terme de "productivisme", qui exclut toute réflexion sur les finalités de la production d’énergie, et se contente de développer les moyens de production, ce qui apparaît parfois comme une fin en soi. *

Alexander (Allemagne)


Le 9 mars, je vais à la chaîne humaine parce que le nucléaire est une mystification anti-démocratique. Seules les attitudes citoyennes de grande ampleur ont une capacité d’inverser ce processus.

Lydie


"Vivre mieux : sans risques nucléaires"

Je vais à la chaîne humaine parce que élire un président ce n’est pas un chèque en blanc. Au rassemblement du 9 mars, je signifie ma détermination de changement pour vivre mieux, c’est à dire : sans risques nucléaires.

Jean-Paul


Le 9 mars, je vais à la chaîne humaine, parce que, comme le dit (à peu près) la chanson, "si tous les gars - et filles - du monde marchaient la main dans la main", il n’y aurait plus d’industrie ou programmes nucléaires menaçant notre terre "pour demain" !

Grâce à une chaîne humaine, une utopie peut se dérouler jusqu’à aboutir à un meilleur monde !

Annie


"... mes enfants"

Le 9 mars 2013, je vais à la chaîne humaine parce que je ne veux pas que mes enfants vivent ce que vivent les enfants de Tchernobyl et maintenant ceux de Fukushima.

Combien de temps les populations devront-elles payer le lourd tribut à la folie d’une poignée de dirigeants ?

Révoltons-nous et mobilisons-nous pour que nos enfants ne nous disent pas "vous n’avez rien fait"... *

Marylise

"Se réapproprier l’énergie..."

Je serai présent le 9 mars 2013 parce que j’ai l’intime conviction que non seulement la France peut sortir du nucléaire en 10 ans mais que nous citoyens devons l’imposer à nos dirigeants. Je désire que les citoyens français se réapproprient les choix énergétiques de leur pays. L’actuelle conférence sur l’énergie n’est qu’une vaste fumisterie... Je ne compte pas sur les têtes bien pensantes (souvent nucléocrates) pour infléchir les politiques énergétiques de notre pays. Sur les questions énergétiques, UMP et PS c’est la même chose. Nous devons avoir le droit de choisir l’énergie que nous consommons. Se réapproprier l’énergie, pour consommer moins mais aussi pour consommer mieux ! Je participerai à la réaction en chaîne humaine le 9 mars 2013 à Paris pour offrir à nos enfants un avenir radieux... mais sans nucléaire ! *

Étienne (Jura)


"Hier j’étais pro-nucléaire..."

Hier j’étais pro-nucléaire. Aujourd’hui je suis informé. Demain, nous serons davantage à être éclairés. Nos pas sont de plus en plus grands et vaincront l’inertie. *

Clément


Le 9 mars, je vais à la chaîne humaine parce que les gouvernements, quelle que soit leur couleur politique, continuent à favoriser le lobby du nucléaire alors que l’atome n’a rencontré qu’échecs et périls sur tous les plans - énergétique, financier, technique, sanitaire, environnemental et humain. Passons tout de suite aux économies d’énergie et aux énergies renouvelables, place au bon sens !

Sophie (Asnières-sur-Seine)


"Je travaille dans une centrale nucléaire et..."

Ce qui me pousse et me motive à vous soutenir ou participer à la chaîne humaine, c’est tout simplement parce que je travaille dans une centrale nucléaire, et que je suis très bien placé pour savoir comment se passent réellement les choses. Il suffit de vous pencher sur mon blog (https://sondage-et-discussion.blogspot.fr) pour comprendre les conditions de travail de ces personnes qui n’ont d’autres ressources que de se résigner pour garder leur emploi pour faire vivre leur famille. Le problème, c’est que parmi ces hommes comme ces femmes beaucoup trop finissent par tomber malades et qu’ils sont hélas souvent ignorés, non reconnus ou mis à l’écart....

Éric


"Réfléchir sur les finalités de la production d’énergie"

Je vais à la chaîne humaine le 9 mars pour dénoncer tant et plus cette technique dangereuse, polluante, toujours prête à péter - et inutile. Sachant que c’est un certain état d’âme qui fait émaner une technique comme le nucléaire, et qui fait qu’elle est imposée par l’État, si besoin de manière violente : l’état d’âme désigné par le terme de "productivisme", qui exclut toute réflexion sur les finalités de la production d’énergie, et se contente de développer les moyens de production, ce qui apparaît parfois comme une fin en soi. *

Alexander (Allemagne)


Le 9 mars, je vais à la chaîne humaine parce que le nucléaire est une mystification anti-démocratique. Seules les attitudes citoyennes de grande ampleur ont une capacité d’inverser ce processus.

Lydie


"Vivre mieux : sans risques nucléaires"

Je vais à la chaîne humaine parce que élire un président ce n’est pas un chèque en blanc. Au rassemblement du 9 mars, je signifie ma détermination de changement pour vivre mieux, c’est à dire : sans risques nucléaires.

Jean-Paul


Le 9 mars, je vais à la chaîne humaine, parce que, comme le dit (à peu près) la chanson, "si tous les gars - et filles - du monde marchaient la main dans la main", il n’y aurait plus d’industrie ou programmes nucléaires menaçant notre terre "pour demain" !

Grâce à une chaîne humaine, une utopie peut se dérouler jusqu’à aboutir à un meilleur monde !

Annie


"... mes enfants"

Le 9 mars 2013, je vais à la chaîne humaine parce que je ne veux pas que mes enfants vivent ce que vivent les enfants de Tchernobyl et maintenant ceux de Fukushima.

Combien de temps les populations devront-elles payer le lourd tribut à la folie d’une poignée de dirigeants ?

Révoltons-nous et mobilisons-nous pour que nos enfants ne nous disent pas "vous n’avez rien fait"... *

Marylise



Soyez au coeur de l'information !

Tous les 3 mois, retrouvez 36 pages (en couleur) de brèves, interviews, articles, BD, alternatives concrètes, actions originales, luttes antinucléaires à l’étranger, décryptages, etc.

Je m'abonne à la revue du Réseau