Ce projet embarrasse l’entreprise qui veut changer l’image du nucléaire.
Si on en croit la diplomatie sarkoziste, la visite de Kadhafi en France est donc le prix à payer pour aider nos entreprises à exporter. Et donc à « sauver nos emplois », comme le justifiait, hier matin, Bernard Kouchner, le ministre des affaires étrangères sur France Inter. Il en irait ainsi des Airbus, des centrales nucléaires d’Areva ou de tout autre contrat. En clair, l’activisme diplomatique de Nicolas Sarkozy serait au (...)