Il y a presque 50 ans, le 2 juillet 1966, la France procédait à son premier essai nucléaire en Polynésie, sous le nom de code « Aldébaran ». 192 autres tirs ont suivi, aériens puis souterrains, sur les atolls de Moruroa et Fangataufa, jusqu’à l’arrêt des essais en 1996.
Pendant longtemps, l'armée française n'a rien dit des conséquences de ces essais sur la santé des militaires et des travailleurs civils qui y participaient, ou sur celle des populations qui habitent les îles (...)