Hésitant depuis le début sur ce dossier, l’Elysée a confié la réalisation de ce réacteur de troisième génération au monopole historique, mais l’a contraint d’y associer son frère ennemi GDF Suez dans une « société de projet ». Dans le même temps, il ouvre la porte au groupe dirigé par Gérard Mestrallet pour l’EPR suivant, sans s’engager formellement et sans donner de date.
En validant jeudi soir le projet d’EDF pour la réalisation du deuxième EPR en France, sur son site de Penly, l’Etat (...)