Les douze militants de Greenpeace qui avaient occupé, mardi 27 mars, une tour de refroidissement de la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire (Cher), afin de protester contre le projet de réacteur nucléaire EPR, ont été remis en liberté, mercredi 28 au soir. Ils encourent trois années de prison et 30 000 euros d’amende pour " dégradations de biens mobiliers et immobiliers servant à l’utilité publique ". - (AFP.)