Atome. La mise en garde à vue d’un militant relance le débat sur la transparence.
par Laure NOUALHAT
Pour défendre un secret, difficile de s’y prendre plus mal. En plaçant un militant antinucléaire en garde à vue mardi dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « compromission du secret de la défense nationale », les autorités ont joué contre elles-mêmes. Depuis, on ne parle que de cela. Et le secret est aussi éventé que si on l’avait confié à Polichinelle.
Le futur réacteur EPR (...)