Le chef de l'État "a confirmé, sans dire combien, que des centrales allaient être fermées, qu'il n'y aurait pas de procrastination, qu'on allait entrer dans le dur, mais qu'il fallait le faire de manière ordonnée", a indiqué Jean-François Julliard de Greenpeace.
Confirmant ses déclarations de campagne, Emmanuel Macron a dit attendre "les recommandations de l'ASN" sur la sûreté des centrales, attendues au plus tard fin 2018. AFP (...)