ARLIT (Niger) - "La guerre est à nos portes", s’alarme Rhamar Ilatoufegh, une figure de la société civile d’Arlit : après le rapt de sept étrangers par Aqmi, la vie continue dans cette cité du nord nigérien, mais sans effacer la peur tombée sur "Areva-ville".
A plus de 1.200 km au nord-est de Niamey, la ville où ont été kidnappés le 16 septembre cinq Français, un Malgache et un Togolais - pour l’essentiel des collaborateurs du groupe nucléaire français Areva et de son sous-traitant Satom (...)