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Depuis 1998, le Réseau "Sortir du nucléaire" a été à l’initiative des nombreuses campagnes.


Mobilisation de Lauterbourg

6 novembre 2010 |




Communiqué de EL Elsass-Lothringischer Volksbund (en français)



Ce jour de 10 heures à 15 heures à la barrière de Lauterbourg, les anti-nucléaire dénonçaient les trains CASTOR sillonnant sauvagement les plaines, maintenant les grandes agglomérations. Les déchets radioactifs ainsi transportés sont produits en des centrales telles celles de Philippsburg et de Fessenheim à égales distances du chef-lieu de canton. Ce rassemblement appuyait également la démonstration de masse de Berg, à quelques centaines de mètres de la ville frontière malgré-elle.

Dès leur arrivée à Lauterbourg, les militants furent encerclés, sélectionnés par les forces de l’ordre sur délit de sale gueule. Ils furent repoussés de leurs installations ferroviaires et des axes de circulation par des cordons musclés aux ordres d’un capitaine de gendarmerie mobile hautain mais anonyme (toujours aussi courageux !). La Sous-préfète aussi fit accélérer le chauffeur en passant devant eux, méprisante. Ils purent quand même accrocher à la barrière un calicot du Réseau « sortir du nucléaire, c’est possible ! », un panneau en langue régionale, l’allemand, et un fanion rouge et blanc de l’Alsace-Lorraine en lutte.

A mi-chemin de sa triste destination, ce train devient le symbole d’une industrie nucléaire dépassée qui déraille. La mobilisation tout au long des itinéraires honteux, les mesures singulières auxquelles on recoure démontrent l’ampleur de l’opposition au risque nucléaire.

Robert Joachim

Ce jour de 10 heures à 15 heures à la barrière de Lauterbourg, les anti-nucléaire dénonçaient les trains CASTOR sillonnant sauvagement les plaines, maintenant les grandes agglomérations. Les déchets radioactifs ainsi transportés sont produits en des centrales telles celles de Philippsburg et de Fessenheim à égales distances du chef-lieu de canton. Ce rassemblement appuyait également la démonstration de masse de Berg, à quelques centaines de mètres de la ville frontière malgré-elle.

Dès leur arrivée à Lauterbourg, les militants furent encerclés, sélectionnés par les forces de l’ordre sur délit de sale gueule. Ils furent repoussés de leurs installations ferroviaires et des axes de circulation par des cordons musclés aux ordres d’un capitaine de gendarmerie mobile hautain mais anonyme (toujours aussi courageux !). La Sous-préfète aussi fit accélérer le chauffeur en passant devant eux, méprisante. Ils purent quand même accrocher à la barrière un calicot du Réseau « sortir du nucléaire, c’est possible ! », un panneau en langue régionale, l’allemand, et un fanion rouge et blanc de l’Alsace-Lorraine en lutte.

A mi-chemin de sa triste destination, ce train devient le symbole d’une industrie nucléaire dépassée qui déraille. La mobilisation tout au long des itinéraires honteux, les mesures singulières auxquelles on recoure démontrent l’ampleur de l’opposition au risque nucléaire.

Robert Joachim



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