EDITO
Jusqu’à présent, l’essentiel du marché noir nucléaire était attribué à Abdul Qadeer Khan. Le " père " de la bombe pakistanaise est accusé d’avoir vendu son savoir à trois pays au moins - Corée du Nord, Libye et Iran - sans que la complicité du pouvoir pakistanais ait été établie.
L’enquête de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sur le site d’Al-Kibar, en Syrie, détruit par l’aviation israélienne en septembre 2007, permet aujourd’hui de soupçonner Pyongyang (...)