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Lettre ouverte internationale des scientifiques sur le projet ITER

Article publié le 1er août 2011



Jusqu’à ce jour c’était surtout sur les arguments environnementaux que se situait l’opposition des citoyens, des ONG, des partis politiques et mouvements écologistes vis à vis du projet expérimental ITER.

A ce jour des scientifiques de haut niveau, dont des physiciens des plasmas, connaissant les failles scientifiques et techniques de cette entreprise, indignés d’avoir vu leur demande de dialogue cordial avec les scientifiques d’ITER ORGANIZATION (celle-ci n’a pas de responsable scientifique en titre !) rester lettre morte ont rédigé une «  lettre ouverte internationale des scientifiques sur le projet thermonucléaire ITER »

C’est un document de 32 pages qui :
 Expose les failles scientifiques et techniques de l’expérience ITER

 Présente un éventail de solutions, basées sur des énergies renouvelables, à l’échelle des besoins de la planète.

 Fait découvrir les possibilités, existant depuis longtemps (1926), du transport de courant électrique sur des milliers de kilomètres, en continu haute tension (3% de pertes par mille kilomètres). 108.000 MW acheminés de cette façon dans 142 installations. 450 km en ligne sous-marine Norvège-Danmark, 6500 MW sur une ligne chinoise. 2000 MW pour la ligne France Angleterre, depuis Gravelines, etc. Une donnée appelée à bouleverser la géopolitique mondiale.

 Explique que le projet ITER est complètement en retrait vis à vis de découvertes récentes (2006) en matière de fusion impulsionnelle (Z-machine) avec des température qui, dépassant le milliard de degrés, permettent d’envisager une fusion aneutronique, non radioactive !

A ce jour signé par :

 Jean-Marie Brom, Directeur de Recherche au CNRS, en activité, physicien nucléaire, France

 Dominique Lalanne, ancien Directeur de recherche en physique nucléaire et physique des particules au CNRS, retraité.

 Christian Nazet, retraité, ancien ingénieur-chercheur au Commissariat à l’Energie Atomique et à la Direction des Applications Militaires, spécialiste de la physique des plasmas thermonucléaires.

 Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS, spécialiste de physique des plasmas.

Cette lettre, qui est aussi un appel international aux signataires scientifiques, chercheurs et ingénieurs spécialisés, à été adressée au président de la Commission d’Enquête Publique actuelle (fin le 5 août 2011), au Préfet des Bouches du Rhône, à Michèle Rivasi, Eurodéputée. Une version anglaise " About ITER " a été adressé à Masatoshi Koshiba, prix Nobel de physique 2002, Japonais, ainsi qu’à quinze ONG internationales .

Télécharger la lettre
Lettre ouverte internationale des scientifiques sur le projet ITER
Lettre en version anglaise

Jusqu’à ce jour c’était surtout sur les arguments environnementaux que se situait l’opposition des citoyens, des ONG, des partis politiques et mouvements écologistes vis à vis du projet expérimental ITER.

A ce jour des scientifiques de haut niveau, dont des physiciens des plasmas, connaissant les failles scientifiques et techniques de cette entreprise, indignés d’avoir vu leur demande de dialogue cordial avec les scientifiques d’ITER ORGANIZATION (celle-ci n’a pas de responsable scientifique en titre !) rester lettre morte ont rédigé une «  lettre ouverte internationale des scientifiques sur le projet thermonucléaire ITER »

C’est un document de 32 pages qui :
 Expose les failles scientifiques et techniques de l’expérience ITER

 Présente un éventail de solutions, basées sur des énergies renouvelables, à l’échelle des besoins de la planète.

 Fait découvrir les possibilités, existant depuis longtemps (1926), du transport de courant électrique sur des milliers de kilomètres, en continu haute tension (3% de pertes par mille kilomètres). 108.000 MW acheminés de cette façon dans 142 installations. 450 km en ligne sous-marine Norvège-Danmark, 6500 MW sur une ligne chinoise. 2000 MW pour la ligne France Angleterre, depuis Gravelines, etc. Une donnée appelée à bouleverser la géopolitique mondiale.

 Explique que le projet ITER est complètement en retrait vis à vis de découvertes récentes (2006) en matière de fusion impulsionnelle (Z-machine) avec des température qui, dépassant le milliard de degrés, permettent d’envisager une fusion aneutronique, non radioactive !

A ce jour signé par :

 Jean-Marie Brom, Directeur de Recherche au CNRS, en activité, physicien nucléaire, France

 Dominique Lalanne, ancien Directeur de recherche en physique nucléaire et physique des particules au CNRS, retraité.

 Christian Nazet, retraité, ancien ingénieur-chercheur au Commissariat à l’Energie Atomique et à la Direction des Applications Militaires, spécialiste de la physique des plasmas thermonucléaires.

 Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS, spécialiste de physique des plasmas.

Cette lettre, qui est aussi un appel international aux signataires scientifiques, chercheurs et ingénieurs spécialisés, à été adressée au président de la Commission d’Enquête Publique actuelle (fin le 5 août 2011), au Préfet des Bouches du Rhône, à Michèle Rivasi, Eurodéputée. Une version anglaise " About ITER " a été adressé à Masatoshi Koshiba, prix Nobel de physique 2002, Japonais, ainsi qu’à quinze ONG internationales .

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