Au contraire de l’introduction en Bourse de Gaz de France, jugée très séduisante, celle de l’électricien apparaît trop chère au vu des incertitudes entourant l’évolution du groupe
EDF commence à se frotter aux dures lois du marché. Une semaine après son lancement, le placement des actions de l’électricien se révèle laborieux sur son coeur de cible, les investisseurs institutionnels, auxquels est réservée la moitié des titres, contre 35 % pour le grand public. Les « zinzins » rechignent à (...)