Obnubilée par le nucléaire, la France tarde à diversifier son bouquet énergétique. La plupart des filières s’enlisent.
En France, il faut être sérieusement optimiste pour croire encore au décollage de la pourtant très prometteuse filière des énergies renouvelables (EnR). Chaque année à Paris à pareille époque, André Antolini, le président du syndicat des industriels du vent, de la biomasse, du photovoltaïque et autres géothermie, a beau brandir l’énorme gisement des créations d’emplois, (...)