Actuellement, le marché est à l’équilibre, avec une capacité mondiale de 50 millions d’unités de travail de séparation (UTS) par an. Mais les experts tablent sur une demande de 65 à 70 millions en 2020 et de 80 millions d’UTS en 2030.
Le ticket d’entrée est élevé, avec des usines à 3 milliards d’euros, mais il semble valoir le coup. Le marché mondial de l’enrichissement d’uranium, contrôlé par quatre acteurs, s’envole grâce au développement du nucléaire et aux menaces de sous-capacités. (...)