Le débat sur l’énergie a eu lieu sans que l’avis de l’Autorité de sûreté soit connu du Parlement.
Alain schmitt, directeur adjoint à la DGSRN (direction générale de la sûreté nucléaire et de la radioprotection, le service du ministère de l’industrie qui joue le rôle de gendarme du nucléaire), l’indique clairement : "Le gouvernement voulait que l’examen de la loi au Parlement ait lieu avant que nous publiions notre prise de position." Ainsi, la position prise par la DGSRN sur la sûreté (...)