Les compromis gouvernementaux ont des raisons que notre raison (en l’occurrence écologique) ignore. En 1999, nous explique Le Monde du 7 juillet, l’ex-patron de la Cogema, avait été « sacrifié » par Lionel Jospin « sur l’autel des Verts » pour faire place à une femme « plus ouverte au débat » : Anne Lauvergnon, qui vient d’être reconduite à la présidence d’Areva, numéro un mondial du nucléaire civil.
Celle que la presse anglo-saxonne dénomme, paraît-il, « Atomic Anne », s’est employée (...)
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