PAUL FABRA
En son temps, c’est-à-dire il y a quelques semaines, la transaction passée sur le « marché politique » entre Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Economie et des Finances, et EDF - où toute négociation se fait sous la surveillance impérieuse de la CGT - pouvait passer comme un compromis habile entre des préoccupations et des intérêts contradictoires. Cette première impression ne serait-elle pas trop superficielle ?
D’un côté, le gouvernement était parvenu pendant l’été à (...)