Deux mois après l’introduction d’EDF en Bourse, la direction du groupe a présenté aux syndicats, jeudi 19 janvier, un des points les plus sensibles de sa politique : "le bilan 2005 et les perspectives 2006-2007" de l’emploi, marqués par la suppression d’au moins 6 000 postes sur un effectif de 108 500 en France.
Alors que les dirigeants inscrivent cette baisse dans une tendance à la réduction du nombre d’agents amorcée il y a vingt ans, les syndicats n’y voient que les premiers dégâts (...)