Le groupe profite de la croissance du marché du nucléaire civil.Toutefois, le retard pris par le chantier de l’EPR a entraîné une provision supplémentaire de 749 millions d’euros.
C’EST une situation un peu paradoxale qu’est en train de vivre Areva, le groupe français leader mondial du nucléaire. D’un côté, plus un mois, voire plus une semaine, ne s’écoule sans qu’un nouveau pays affiche son intérêt pour l’EPR, le réacteur nucléaire de troisième génération, de la technologie duquel Areva (...)