Jeudi, les « parties prenantes » des industries européennes en ont pris pour leur grade. Tout a commencé par une virulente critique des opinions publiques, lors du E-World d’Essen. La salve a été commandée par le patron d’E.O.N.
Commentant un sondage montrant que 96% des Allemands sont favorables au solaire, 47% à l’éolien, 24% au nucléaire et 7% au charbon, Wulf Bernotat s’est fâché, fustigeant même la méconnaissance par ses concitoyens des problèmes d’énergie.
« C’est exactement (...)