Le modèle industriel « clé en main » défendu par la présidente française est critiqué.
Certes, Anne Lauvergeon était préparée à la perte du contrat chinois. Mais la patronne d’Areva aurait sans doute préféré que l’annonce de cette décision ne se télescope pas avec cet autre mauvais coup : le nouveau retard dans la construction du premier réacteur nucléaire de troisième génération, l’EPR, celui-là même qui doit servir de vitrine commerciale.
La semaine dernière, Areva a dû admettre (...)