PARIS (AP) - "Je ne veux pas être le fossoyeur" d’EDF et GDF ni le "coupable de l’immobilisme". Défendant le changement de statut d’EDF et GDF devant les députés, Nicolas Sarkozy s’est de nouveau engagé mardi à maintenir à 70% la part minimale de l’Etat dans les entreprises. En tout état de cause, il a affirmé que l’ouverture du capital n’interviendrait pas, si elle s’avérait nécessaire, avant "mi-2005".
"EDF et Gaz de France ne seront pas privatisées" et "jamais un gouvernement français (...)
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