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La transformation de l’uranium en bref

Article publié le 25 avril 2013



L’uranium, après avoir été extrait de la roche dans des mines à l’étranger, subit, en France, une série de transformations sur plusieurs sites nucléaires, pour pouvoir être utilisé dans les réacteurs. Il est de nombreuses fois transformé et transporté, parcourant ainsi les routes et voies ferrées, d’une installation nucléaire à l’autre.



Une fois arrivé par bateau dans les ports français, principalement au Havre, et parfois à Sète, l’uranium poursuit son long et dangereux périple à travers l’Hexagone.

Il est tout d’abord acheminé par train jusqu’à l’usine Comurhex Malvési, près de Narbonne, pour être transformé une première fois.

Il est ensuite envoyé en camion citerne sur le site du Tricastin, pour être à nouveau transformé à l’usine Comurhex Pierrelatte puis pour être enrichi dans l’installation Georges Besse.

L’uranium est enfin transporté jusque l’installation FBCF – franco belge de fabrication du combustible – où il sera conditionné sous forme de pastille, puis placé dans des tubes, formant ainsi les assemblages de combustibles nucléaires.

Ce n’est qu’une fois ces multiples transformations réalisées que l’uranium est envoyé vers les 19 centrales nucléaires françaises.

Ces étapes de transformation ne sont pas sans risque : elles sont très polluantes, génèrent en permanence des transports dangereux et produisent des déchets en grande quantité, qui viennent s’ajouter à tous les autres déchets produits par l’industrie tout au long de la chaine d’exploitation de l’uranium.

Prochainement, de nombreuses informations sur les différentes installations de l’industrie de l’uranium seront diffusées, des incidents et scandales seront dévoilés sur notre site.

Pour être informé sur ces installations, les incidents, les appels à actions, rejoignez-nous, restez connecté et recevez régulièrement les actualités de la campagne !

Une fois arrivé par bateau dans les ports français, principalement au Havre, et parfois à Sète, l’uranium poursuit son long et dangereux périple à travers l’Hexagone.

Il est tout d’abord acheminé par train jusqu’à l’usine Comurhex Malvési, près de Narbonne, pour être transformé une première fois.

Il est ensuite envoyé en camion citerne sur le site du Tricastin, pour être à nouveau transformé à l’usine Comurhex Pierrelatte puis pour être enrichi dans l’installation Georges Besse.

L’uranium est enfin transporté jusque l’installation FBCF – franco belge de fabrication du combustible – où il sera conditionné sous forme de pastille, puis placé dans des tubes, formant ainsi les assemblages de combustibles nucléaires.

Ce n’est qu’une fois ces multiples transformations réalisées que l’uranium est envoyé vers les 19 centrales nucléaires françaises.

Ces étapes de transformation ne sont pas sans risque : elles sont très polluantes, génèrent en permanence des transports dangereux et produisent des déchets en grande quantité, qui viennent s’ajouter à tous les autres déchets produits par l’industrie tout au long de la chaine d’exploitation de l’uranium.

Prochainement, de nombreuses informations sur les différentes installations de l’industrie de l’uranium seront diffusées, des incidents et scandales seront dévoilés sur notre site.

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