11 mars 2019
La douceur du début du mois de mars 2019 entraine une consommation moindre d’électricité. En conséquence plusieurs réacteurs ont été mis à l’arrêt ou ont vu leur puissance diminuer. Mais lors de la remontée en puissance du réacteur 2 de Penly le 11 mars au petit matin, une alarme Vibrations s’est déclenchée sur une pompe.
Mais on n’en sait à peine plus sur l’incident. Si ce n’est que la pompe en question est "dans la partie non nucléaire", qu’il n’y a aucune conséquences pour la sûreté et que le diagnostic du dysfonctionnement est en cours. Ce même réacteur a pourtant déjà été arrêté moins d’un semaine avant, le 3 mars, à la demande de RTE et les équipes d’EDF en avaient profité pour réaliser quelques travaux de maintenance.
Diagnostic en cours concernant le dysfonctionnement d’une pompe, hors zone nucléaire, sans conséquence sur la sûreté
Publié le 11/03/2019
Les unités n°1 et 2 de la centrale de Penly ont fait l’objet, ce week-end (9 et 10 mars), d’une baisse de production, demandée par le gestionnaire du réseau électrique national (RTE). Cette baisse de production avait pour but d’adapter la production d’électricité à la consommation.
Ce lundi 11 mars 2019, à 4h30, lors de la remontée en puissance, une alarme de vibrations s’est déclenchée sur une pompe de la partie non nucléaire de l’unité de production n°2. Les équipes électricité, conduite et automatismes ont engagé le diagnostic du dysfonctionnement. Ce diagnostic permettra d’engager par la suite le traitement technique sur la pompe et la remontée à pleine puissance de l’unité de production n°2.
Ce événement n’a aucun impact ni sur la sûreté des installations, ni sur l’environnement. La direction du site de production a informé les pouvoirs publics, l’Autorité de sûreté nucléaire, la commission locale d’information nucléaire et les maires des communes à proximité de la centrale EDF.
L’unité de production n°1 est à disposition du réseau électrique national.