Fessenheim

Ce 13 juillet 2018, la plus vieille des centrales françaises a dû être arrêtée après 3 mois de fonctionnement. Un problème sur des détecteurs incendie en zone nucléaire nécessitait une intervention. Un essai d’îlotage a été réalisé au préalable.

Le 21 mai 2018, le réacteur 2 de la centrale de Fessenheim s’est arrêté automatiquement en raison d’un problème du niveau d’eau sur un générateur de vapeur. L’exploitant en a profité pour réparer une fuite sur le circuit secondaire.

Forum du livre de Saint-Louis 11 h 20 - 11 h 50

Arrêté depuis juin 2016, le réacteur 2 de la centrale de Fessenheim devrait redémarrer vers le 6 avril 2018. L’annonce de ce redémarrage, déjà plusieurs fois repoussé, intervient en même temps que la déclaration d’un incident significatif pour la sûreté.

Lettre ouverte des associations : CSFR ‐ Comité pour la Sauvegarde de Fessenheim et de la plaine du Rhin Stop Transports Halte au Nucléaire Stop Fessenheim Collectif Les Citoyens Vigilants des environs de Fessenheim Alsace Nature Mesdames Brigitte Klinkert et Catherine Troendle, Messieurs (...)

C’est à l’occasion d’un test réalisé ce 4 février 2018 que l’exploitant s’est rendu compte que le système de validation des mesures de températures du réacteur 1 ne fonctionnait pas.

Sans tambours ni trompettes, la fermeture de Fessenheim commence enfin à se concrétiser. Même s’il ne faut pas crier victoire trop vite, 2018 sera vraisemblablement la dernière année de fonctionnement de la doyenne des centrales nucléaires françaises. Des indices d’une fermeture qui se (...)

Des opérations de remplacement des filtres du système de ventilation du bâtiment des auxiliaires nucléaires se sont mal passées et ont engendré une perte de confinement des locaux.

Un des 2 capteurs de la pression du circuit primaire du réacteur 1 a été identifié comme indisponible lors du dernier arrêt du réacteur. Mais ce capteur était hors service depuis une date bien antérieure à cet arrêt.

Fermer Fessenheim, telle était la promesse du candidat Hollande en 2012. Cinq ans après, sa concrétisation se fait toujours attendre : le décret fumeux signé par Ségolène Royal ne garantit absolument pas l’arrêt prochain de la doyenne des centrales françaises. Un renoncement à l’image de la (...)