« On n’a pas le droit d’en parler ». Contrairement à la simulation d’accident nucléaire qui a été largement médiatisée sur Paris, les manœuvres qui ont eu lieu, hier, au camp militaire de Sissonne, se sont déroulées dans la plus grande discrétion si ce n’est les convois de véhicules rouges ou bleus qui ont alerté tout le monde.
Dès le début de matinée, un virtuel accident de transport nucléaire a donné la trame d’un scénario catastrophe dont personne, hier, n’a voulu parler.
Ni les (...)