Par Hervé Kempf
Avant, après. Avant, un espace sans doute occupé par l’homme, mais qui reste dominé par la nature. Après, un espace transformé, redessiné. Et qui, le plus souvent, a vu sa biodiversité reculer et sa charge en polluants augmenter.
En plaçant ainsi en vis-à-vis une centaine de lieux de la planète parmi des milliers d’autres modifiés par l’action humaine, le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) démontre sans grands discours l’ampleur du (...)