L’entreprise a dévoilé deux stratégies, le « repli » ou le « développement ».
Par Grégoire BISEAU
Si l’on en croit EDF, il y a en ce moment un groupe d’une quinzaine de personnes, présidé par l’ancien président de France Télécom Marcel Roulet, qui sont en train de se rincer l’oeil, tous les mercredis matin, dans une salle de réunion de Bercy. Et que voient ces veinards ? « Une entreprise qui se met à poil, comme aucune ne l’a fait auparavant », assure un cadre d’EDF.
Bigre. « Et c’est très désagréable pour (...)