Le groupe français souhaite un geste de l’État pour appuyer le plan de relance du gouvernement.
Pas de répit pour EDF. Après avoir consacré une bonne partie de l’année à prendre le contrôle de British Energy, le groupe français planche actuellement sur un autre dossier épineux, au moins aussi politique qu’économique : une augmentation de ses tarifs.
Une telle décision relève de l’État, actionnaire d’EDF à hauteur de 87%, mais qu’il ne prend jamais facilement, compte tenu de son (...)