Le projet d’acquisition pour un peu plus de 5 milliards d’euros des 35% détenus par l’Etat britannique dans son leader du nucléaire, dont continuent de discuter EDF et British Energy, offre certes de belles opportunités au groupe français. Mais il soulève aussi de multiples questions sur la nature exacte de ce qu’achèterait l’électricien français. Revue de détail.
· L’intérêt stratégique de l’opération
EDF ayant fait de la Grande-Bretagne un axe stratégique, l’acquisition de British (...)