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Depuis 1998, le Réseau "Sortir du nucléaire" a été à l’initiative des nombreuses campagnes.


Dix bonnes raisons de refuser l’EPR




1) L’EPR est obsolète :

Qualifié de " réacteur nucléaire de l’avenir " par ses promoteurs, l’EPR (European Pressurized Reactor) n’a rien de nouveau. Il s’agit d’un vieux projet né au milieu des années quatre-vingt et dont les objectifs de sûreté n’ont pas évolué depuis 1993. Il n’amène aucune avancée technique significative par rapport aux réacteurs actuels et ne propose en particulier aucune solution au problème majeur des déchets nucléaires.

L’avant-projet détaillé est couvert par le secret industriel et n’est donc pas ouvert à une expertise indépendante.

2) L’EPR est dangereux :

Il est comparable aux derniers réacteurs nucléaires construits en France, qui ont connu de sérieux problèmes peu après leur mise en fonctionnement (Civaux, 1998). L’EPR présente des risques d’accidents majeurs : fusion du cœur (par exemple, par perte du liquide de refroidissement du circuit primaire), destruction de l’enceinte de confinement (par explosion de l’hydrogène produit lors de l’accident). Comme les autres centrales, l’EPR n’est pas à l’abri du risque terroriste. Le Réseau "Sortir du nucléaire" a rendu public en 2003 un document confidentiel-défense qui reconnaît que l’EPR n’est pas adapté à un crash suicide. Inacceptable pour un réacteur "post 11 septembre" ! Comme tous les autres réacteurs, il suppose, pour rester sous contrôle, des procédures compliquées, une attention sans faille, un contexte social et politique stable inimaginable sur des durées historiques longues.

3) L’EPR aggrave le problème des déchets radioactifs :

Les générations futures nous reprocheront à jamais d’avoir laissé s’accumuler des déchets nucléaires dangereux et hautement toxiques pour des dizaines de milliers d’années.

L’EPR ne fera qu’augmenter encore plus la quantité de ces poisons pour lesquels il n’existe aucune solution. Pour tenter de dissimuler le problème, une décision capitale et irresponsable pourrait être prise au Parlement en 2006, autorisant l’enfouissement profond et irréversible des déchets radioactifs à vie longue à Bure, dans la Meuse, ce qui exposerait la Terre à une contamination incontrôlable. Promouvoir en France ou ailleurs une technologie EPR qui ne sait que faire de ses déchets est inacceptable !

4) L’EPR n’est pas une solution à l’effet de serre :

Même si le nucléaire produit peu de gaz à effet de serre, on est loin du "zéro émission" proclamé par EDF dans ses publicités. Imaginer freiner le réchauffement climatique en construisant des milliers de nouvelles centrales nucléaires dans le monde est complètement insensé à cause des risques sanitaires et environnementaux connus et des tensions géopolitiques existant dans le monde. Ce serait aussi hasardeux du fait des coûts faramineux engendrés et des délais importants de construction. Enfin, c’est de toute façon impossible car les réserves mondiales d’uranium seraient épuisées en quelques années. En réalité, sur les 440 réacteurs nucléaires en service actuellement sur la planète, la majorité arrivera en fin de vie dans les 20 à 30 ans à venir.

La part du nucléaire dans la consommation mondiale d’énergie finale, déjà marginale (3%), va donc décroître inexorablement. Le nucléaire ne permettra donc jamais de lutter contre l’effet de serre, ni de suppléer le pétrole. Les véritables solutions pour lutter efficacement contre l’effet de serre sont la sobriété et l’efficacité énergétique, le développement massif des énergies renouvelables mais aussi une politique volontariste limitant la pollution des transports (plus de transports en commun, moins de camions et voitures...) N’oublions pas que les transports exponentiels à travers le monde sont les premiers responsables du changement climatique !

5) L’EPR est inutile :

Même les gens favorables au nucléaire reconnaissent que la France n’a pas besoin de construire de nouvelles centrales nucléaires avant 20 à 30 ans. Dotée d’un parc électronucléaire totalement surdimensionné, la France exporte massivement son électricité, à perte. En construisant un réacteur nucléaire EPR, notre pays ajouterait de la surproduction à la surproduction actuelle et ne ferait qu’accroître le gaspillage énergétique en poussant à toujours plus de consommation, notamment avec la climatisation ou le chauffage électrique. Alors qu’il est présenté comme un atout pour l’avenir, l’EPR représenterait en réalité un lourd handicap en hypothéquant gravement notre avenir énergétique. En fait, la vraie raison de construire l’EPR est de permettre à l’industrie nucléaire de survivre. Il s’agit de sauvegarder un outil industriel menacé par l’absence de commande de centrales.

6) L’EPR est coûteux :

Un seul réacteur EPR coûtera entre 3 et 4 milliards d’euros. Pour faire croire à sa compétitivité, les calculs de l’industrie nucléaire portent sur la construction d’une série de dix EPR, alors qu’étrangement la construction d’un seul prototype est officiellement décidée... D’autre part, pour amortir chaque réacteur EPR, leur durée de vie prévue serait de 60 ans. Quand on constate les incidents à répétition sur des centrales nucléaires actuelles après 25 ans d’âge, on peut sérieusement s’interroger sur ce qu’il en sera pour l’EPR avant les 60 ans de vie annoncée. A titre d’exemple, EDF a déclaré à l’Autorité de Sûreté Nucléaire, 671 incidents significatifs classés sur l’échelle Internationale des événements nucléaires (INES) au cours de l’année 2003.

N’oublions pas enfin que les conséquences économiques relatives aux risques d’un accident majeur, les coûts de gestion des déchets nucléaires ou encore ceux du démantèlement des centrales sont largement sous-estimés et de toute façon non budgétés (Cour des Comptes, rapport public 1998).

7) L’EPR est une grave erreur de stratégie industrielle :

En développant l’EPR, la France se replie sur elle-même et s’engage dans une voie sans marché véritable. Au-delà de la vente, à un prix bradé, d’un exemplaire à la Finlande, les clients ne se bousculent pas. Outre qu’il est déjà techniquement dépassé, ce réacteur ne surmonte pas les réticences à l’encontre du nucléaire. Ainsi, l’Allemagne, pourtant impliquée dans sa conception, n’en commandera pas. Il en sera de même pour les autres pays européens. Le marché américain reste inexistant, tandis que les éventuelles ventes en Asie se compteront à l’unité : les délais de construction sont très longs (10 ans au moins en comptant toutes les procédures) et il s’agit d’un lourd investissement qui le rend non attractif pour la plupart des investisseurs privés. D’autre part, l’EPR aura un impact très négatif sur le développement de solutions technologiques du futur : économies d’énergie, efficacité énergétique et énergies renouvelables. Ces différentes filières sont innovantes, à forte valeur ajoutée, créatrices d’emplois et constituent des marchés d’avenir, dans les pays industrialisés comme dans ceux qui sont en voie de développement.

En fin de compte, on connaît le coût de cet autisme nationaliste : c’est le contribuable qui payera cette mauvaise stratégie industrielle.

8) L’EPR accroît le danger terroriste et de guerre nucléaire :

La commercialisation de l’EPR entraînera un risque accru sur le plan militaire et terroriste. L’EPR a la particularité d’utiliser, pour son combustible, davantage de plutonium que les autres réacteurs. Le plutonium, dont la période de vie est de 24 000 ans, pose des problèmes, tant de radioactivité que d’utilisation militaire (fabrication de la bombe atomique) ou de terrorisme. Quelques dizaines de microgrammes de plutonium inhalé et c’est le cancer du poumon assuré. Par chance, les derniers conflits n’ont pas entraîné de destructions sur des réacteurs en fonctionnement ou des centres de stockage de déchets. La multiplication des installations nucléaires et de la filière du plutonium augmentera la probabilité de drames de ce genre comme celle de la dissémination des armes nucléaires.

Est-il acceptable que la France, pays des droits de l’homme, serve de vitrine à l’exportation de cette technologie à hauts risques, souvent vers des pays dont la démocratie n’est pas le point fort et où les risques d’utilisation de l’atome à des fins militaires sont importants ?

9) L’EPR est une menace pour la démocratie :

En 2003, des pseudo-débats ont été organisés sans que les citoyens puissent y participer, alors que le gouvernement avait déjà pris en secret la décision de construire l’EPR. Les "sages" chargés de coordonner les débats ont eux-mêmes fait part de leurs doutes sur la nécessité d’une décision rapide concernant l’EPR, sans que leurs arguments soient le moins du monde pris en compte. Le gouvernement n’a pas jugé utile de commander une étude comparative entre l’EPR et d’autres solutions énergétiques.

À technologie centralisée et non transparente, décision verrouillée et obscure ! C’est grave pour la démocratie, qui vacille devant des durées (des milliers d’années pour les déchets nucléaires) dépassant de très loin le mandat des élus.

10) L’EPR tue l’avenir :

EDF a comme perspective de construire 35 réacteurs EPR à l’horizon 2070. Outre le côté absurde de cette orientation (les réserves mondiales d’uranium sont estimées à une soixantaine d’années), ce choix nous enfermerait dans la voie sans issue du nucléaire. Ce projet, par son coût et sa philosophie, stériliserait durablement l’innovation et le développement des énergies les plus respectueuses de l’environnement.

La France prendrait ainsi un retard considérable dans les domaines de l’efficacité énergétique et du développement des énergies renouvelables. A production équivalente, les énergies renouvelables créent quatre à cinq fois plus d’emplois que le nucléaire, et des emplois bien mieux répartis sur le territoire.

L’EPR empêche toute possibilité de sortie du nucléaire. Pourtant, il existe des solutions alternatives concrètes. La majeure partie de l’Europe se passe déjà du nucléaire ou s’est engagée sur cette voie (comme l’Allemagne, la Belgique ou l’Espagne).

Pour en savoir plus sur l’EPR consultez notre dossier thématique

1) L’EPR est obsolète :

Qualifié de " réacteur nucléaire de l’avenir " par ses promoteurs, l’EPR (European Pressurized Reactor) n’a rien de nouveau. Il s’agit d’un vieux projet né au milieu des années quatre-vingt et dont les objectifs de sûreté n’ont pas évolué depuis 1993. Il n’amène aucune avancée technique significative par rapport aux réacteurs actuels et ne propose en particulier aucune solution au problème majeur des déchets nucléaires.

L’avant-projet détaillé est couvert par le secret industriel et n’est donc pas ouvert à une expertise indépendante.

2) L’EPR est dangereux :

Il est comparable aux derniers réacteurs nucléaires construits en France, qui ont connu de sérieux problèmes peu après leur mise en fonctionnement (Civaux, 1998). L’EPR présente des risques d’accidents majeurs : fusion du cœur (par exemple, par perte du liquide de refroidissement du circuit primaire), destruction de l’enceinte de confinement (par explosion de l’hydrogène produit lors de l’accident). Comme les autres centrales, l’EPR n’est pas à l’abri du risque terroriste. Le Réseau "Sortir du nucléaire" a rendu public en 2003 un document confidentiel-défense qui reconnaît que l’EPR n’est pas adapté à un crash suicide. Inacceptable pour un réacteur "post 11 septembre" ! Comme tous les autres réacteurs, il suppose, pour rester sous contrôle, des procédures compliquées, une attention sans faille, un contexte social et politique stable inimaginable sur des durées historiques longues.

3) L’EPR aggrave le problème des déchets radioactifs :

Les générations futures nous reprocheront à jamais d’avoir laissé s’accumuler des déchets nucléaires dangereux et hautement toxiques pour des dizaines de milliers d’années.

L’EPR ne fera qu’augmenter encore plus la quantité de ces poisons pour lesquels il n’existe aucune solution. Pour tenter de dissimuler le problème, une décision capitale et irresponsable pourrait être prise au Parlement en 2006, autorisant l’enfouissement profond et irréversible des déchets radioactifs à vie longue à Bure, dans la Meuse, ce qui exposerait la Terre à une contamination incontrôlable. Promouvoir en France ou ailleurs une technologie EPR qui ne sait que faire de ses déchets est inacceptable !

4) L’EPR n’est pas une solution à l’effet de serre :

Même si le nucléaire produit peu de gaz à effet de serre, on est loin du "zéro émission" proclamé par EDF dans ses publicités. Imaginer freiner le réchauffement climatique en construisant des milliers de nouvelles centrales nucléaires dans le monde est complètement insensé à cause des risques sanitaires et environnementaux connus et des tensions géopolitiques existant dans le monde. Ce serait aussi hasardeux du fait des coûts faramineux engendrés et des délais importants de construction. Enfin, c’est de toute façon impossible car les réserves mondiales d’uranium seraient épuisées en quelques années. En réalité, sur les 440 réacteurs nucléaires en service actuellement sur la planète, la majorité arrivera en fin de vie dans les 20 à 30 ans à venir.

La part du nucléaire dans la consommation mondiale d’énergie finale, déjà marginale (3%), va donc décroître inexorablement. Le nucléaire ne permettra donc jamais de lutter contre l’effet de serre, ni de suppléer le pétrole. Les véritables solutions pour lutter efficacement contre l’effet de serre sont la sobriété et l’efficacité énergétique, le développement massif des énergies renouvelables mais aussi une politique volontariste limitant la pollution des transports (plus de transports en commun, moins de camions et voitures...) N’oublions pas que les transports exponentiels à travers le monde sont les premiers responsables du changement climatique !

5) L’EPR est inutile :

Même les gens favorables au nucléaire reconnaissent que la France n’a pas besoin de construire de nouvelles centrales nucléaires avant 20 à 30 ans. Dotée d’un parc électronucléaire totalement surdimensionné, la France exporte massivement son électricité, à perte. En construisant un réacteur nucléaire EPR, notre pays ajouterait de la surproduction à la surproduction actuelle et ne ferait qu’accroître le gaspillage énergétique en poussant à toujours plus de consommation, notamment avec la climatisation ou le chauffage électrique. Alors qu’il est présenté comme un atout pour l’avenir, l’EPR représenterait en réalité un lourd handicap en hypothéquant gravement notre avenir énergétique. En fait, la vraie raison de construire l’EPR est de permettre à l’industrie nucléaire de survivre. Il s’agit de sauvegarder un outil industriel menacé par l’absence de commande de centrales.

6) L’EPR est coûteux :

Un seul réacteur EPR coûtera entre 3 et 4 milliards d’euros. Pour faire croire à sa compétitivité, les calculs de l’industrie nucléaire portent sur la construction d’une série de dix EPR, alors qu’étrangement la construction d’un seul prototype est officiellement décidée... D’autre part, pour amortir chaque réacteur EPR, leur durée de vie prévue serait de 60 ans. Quand on constate les incidents à répétition sur des centrales nucléaires actuelles après 25 ans d’âge, on peut sérieusement s’interroger sur ce qu’il en sera pour l’EPR avant les 60 ans de vie annoncée. A titre d’exemple, EDF a déclaré à l’Autorité de Sûreté Nucléaire, 671 incidents significatifs classés sur l’échelle Internationale des événements nucléaires (INES) au cours de l’année 2003.

N’oublions pas enfin que les conséquences économiques relatives aux risques d’un accident majeur, les coûts de gestion des déchets nucléaires ou encore ceux du démantèlement des centrales sont largement sous-estimés et de toute façon non budgétés (Cour des Comptes, rapport public 1998).

7) L’EPR est une grave erreur de stratégie industrielle :

En développant l’EPR, la France se replie sur elle-même et s’engage dans une voie sans marché véritable. Au-delà de la vente, à un prix bradé, d’un exemplaire à la Finlande, les clients ne se bousculent pas. Outre qu’il est déjà techniquement dépassé, ce réacteur ne surmonte pas les réticences à l’encontre du nucléaire. Ainsi, l’Allemagne, pourtant impliquée dans sa conception, n’en commandera pas. Il en sera de même pour les autres pays européens. Le marché américain reste inexistant, tandis que les éventuelles ventes en Asie se compteront à l’unité : les délais de construction sont très longs (10 ans au moins en comptant toutes les procédures) et il s’agit d’un lourd investissement qui le rend non attractif pour la plupart des investisseurs privés. D’autre part, l’EPR aura un impact très négatif sur le développement de solutions technologiques du futur : économies d’énergie, efficacité énergétique et énergies renouvelables. Ces différentes filières sont innovantes, à forte valeur ajoutée, créatrices d’emplois et constituent des marchés d’avenir, dans les pays industrialisés comme dans ceux qui sont en voie de développement.

En fin de compte, on connaît le coût de cet autisme nationaliste : c’est le contribuable qui payera cette mauvaise stratégie industrielle.

8) L’EPR accroît le danger terroriste et de guerre nucléaire :

La commercialisation de l’EPR entraînera un risque accru sur le plan militaire et terroriste. L’EPR a la particularité d’utiliser, pour son combustible, davantage de plutonium que les autres réacteurs. Le plutonium, dont la période de vie est de 24 000 ans, pose des problèmes, tant de radioactivité que d’utilisation militaire (fabrication de la bombe atomique) ou de terrorisme. Quelques dizaines de microgrammes de plutonium inhalé et c’est le cancer du poumon assuré. Par chance, les derniers conflits n’ont pas entraîné de destructions sur des réacteurs en fonctionnement ou des centres de stockage de déchets. La multiplication des installations nucléaires et de la filière du plutonium augmentera la probabilité de drames de ce genre comme celle de la dissémination des armes nucléaires.

Est-il acceptable que la France, pays des droits de l’homme, serve de vitrine à l’exportation de cette technologie à hauts risques, souvent vers des pays dont la démocratie n’est pas le point fort et où les risques d’utilisation de l’atome à des fins militaires sont importants ?

9) L’EPR est une menace pour la démocratie :

En 2003, des pseudo-débats ont été organisés sans que les citoyens puissent y participer, alors que le gouvernement avait déjà pris en secret la décision de construire l’EPR. Les "sages" chargés de coordonner les débats ont eux-mêmes fait part de leurs doutes sur la nécessité d’une décision rapide concernant l’EPR, sans que leurs arguments soient le moins du monde pris en compte. Le gouvernement n’a pas jugé utile de commander une étude comparative entre l’EPR et d’autres solutions énergétiques.

À technologie centralisée et non transparente, décision verrouillée et obscure ! C’est grave pour la démocratie, qui vacille devant des durées (des milliers d’années pour les déchets nucléaires) dépassant de très loin le mandat des élus.

10) L’EPR tue l’avenir :

EDF a comme perspective de construire 35 réacteurs EPR à l’horizon 2070. Outre le côté absurde de cette orientation (les réserves mondiales d’uranium sont estimées à une soixantaine d’années), ce choix nous enfermerait dans la voie sans issue du nucléaire. Ce projet, par son coût et sa philosophie, stériliserait durablement l’innovation et le développement des énergies les plus respectueuses de l’environnement.

La France prendrait ainsi un retard considérable dans les domaines de l’efficacité énergétique et du développement des énergies renouvelables. A production équivalente, les énergies renouvelables créent quatre à cinq fois plus d’emplois que le nucléaire, et des emplois bien mieux répartis sur le territoire.

L’EPR empêche toute possibilité de sortie du nucléaire. Pourtant, il existe des solutions alternatives concrètes. La majeure partie de l’Europe se passe déjà du nucléaire ou s’est engagée sur cette voie (comme l’Allemagne, la Belgique ou l’Espagne).

Pour en savoir plus sur l’EPR consultez notre dossier thématique



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