Faire un don

Revue de presse

Avril 2007 / Ouest-France

Deux jours dans un pylône à 20 mètres du sol



L’occupation du pylône d’une ligne THT de 400 000 volts : une opération risquée que les antinucléaires avaient préparée avec minutie

CHERBOURG. - « Quand on est à 20 m de haut, je peux vous dire qu’on n’est pas fier. » Le Dieppois David Lami, 26 ans, conducteur d’engins de travaux, vient de passer trente heures dans le pylône de la ligne à très haute tension (400 000 volts), à Flamanville. Cette ligne couple la centrale nucléaire au réseau d’électricité. Il a laissé ses deux derniers (...)