Descendre à 490 sous terre est une expérience peu commune. Techniciens de l’Andra et opposants se sont livrés à un échange contradictoire au coeur de l’installation de Bure.
"Je ne suis pas rassuré", lâche Martin Leers en sortant du puits auxiliaire de Bure qu’il vient de visiter. Chargé de campagne du réseau "Sortir du nucléaire", c’est la première fois qu’un membre de cette association descend à 490 m sous terre pour inspecter les installations destinées à recevoir les déchets (...)