Le directeur de l’agence de l’ONU, Mohammed ElBaradei, publie aujourd’hui son rapport qui est déjà contesté par les pays occidentaux.
Le soir tombe sur Téhéran. À l’issue d’une nouvelle journée d’inspection en cet hiver 2004-2005, le Belge Chris Charlier, confortablement assis dans un fauteuil du Grand Hôtel, relate, amusé, une anecdote sur ses démêlés avec les autorités.
Un an auparavant, son équipe d’enquêteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) faisait le « (...)