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Archives : Des artistes avec nous

Christophe Léon

Article publié le 10 juillet 2012



https://www.christophe-leon.fr



Auteur-romancier, Christophe Léon consacre ses romans à destination de la jeunesse et sur des sujets engagés.

Romans :

 Tu t’appelles Amandine Keddha, Le Rouergue, coll. « La brune », 2002 (Littérature générale, roman)

 Palavas la Banche, Le Rouergue, coll. « La brune », 2003 (Littérature générale, roman)

 Longtemps, L’école des loisires, coll. « Neuf », 2006 (Littérature jeunesse, roman)

 Quatre jours dans la vie de Thorpe, mise en scène Jean-Pierre Vidotto, 2006/2007 (Théâtre)

 Journal d’un étudiant japonais à Paris, éd. du Serpent à plumes, 2007 (Littérature générale, roman)

 Nénuphar Grigrimaldit, Alice éditions - avril 2007 (Littérature jeunesse, roman)

 Lilas doit pleurer et les moustiques piquer Jeancri, éd. Oskar jeunesse, 2007 (Littérature jeunesse, roman)

 Pas demain la veille, éd. Thierry Magnier, 2007 (Littérature jeunesse, roman)

 Beaux-arts, col, Fulgurances, éd. du Somnambule équivoque, 2008 (Littérature générale, roman)

 Noces d’airain, éd Arhsens, 2008 (Littérature générale, roman)

 Grand-père, Oskar jeunesse - mai 2008 (Littérature jeunesse)

 Écoloco, une alter-friction, coll. « Dérapages », éd. Somnambule équivoque, 2008 (Littérature générale, essai)

 La guerre au bout du couloir ,Thierry Magnier - octobre 2008 (Littérature jeunesse, roman) Prix NRP 2009

 Nouvelles re-vertes, éd. Thierry Magnier, Collectif, 2008 (Littérature jeunesse, nouvelles)

 Je suis Richard Brautigan, coll. « Short Stories », éd. Somnambule équivoque, 2009 (Littérature générale, nouvelles)

 Écran plat, coll. « Dérapages », éd. Somnambule équivoque, 2009 (Littérature générale, essai)

 Dans l’enfer de Dante, La Joie de Lire - janvier 2009 (Littérature jeunesse, roman)

 Mi-Figue mi-raisin , La Joie de Lire, coll. « Rétroviseur » - août 2009 (Littérature générale/jeunesse, récit autobiographique)

 Silence, on irradie, éd. Thierry Magnier, 2009 (Littérature jeunesse, roman) Prix François Villon 2011

 Bleu Toxic - avril 2010, Le Seuil, coll. « Karactère(s) » (Littérature jeunesse, roman)

 Granpa’, éd. Thierry Magnier - août 2010 (Littérature jeunesse, roman)

 Délit de fuite, La Joie de Lire, coll. Encrage - janvier 2011 (Littérature jeunesse, roman)

 Gros malheurs, coll. « Short Stories », éd. Somnambule équivoque, avril 2011 (Littérature générale, nouvelles)

 Argentina, Argentina..., Oskar éditeur, à paraître le 23 août 2011 (Littérature jeunesse, roman)

 Désobéis !, éditions Thierry Magnier, coll. Nouvelles - à paraître le 05 octobre 2011 (Littérature jeunesse, nouvelles)

 Le goût de la tomate, éd. Thierry Magnier, coll. Petite Poche - à paraître le 5 octobre 2011 (Littérature jeunesse, roman)

Ouvrages en sélection pour un prix en 2011 & 2012

 Délit de fuite : Prix de la citoyenneté 2012 / Prix littéraire des Maisons Familiales Rurales (MFR) de Maine et Loire 2012

 Granpa’  : Prix collégiens 2011 du Musée des Confluences / Prix des Incorruptibles 2012 cat. CM2/6e / Prix Chronos 2012 cat. CM1/CM2 / Prix Chronos-Pro Senectute 2012 / Prix Ados du Cript Bretagne 2011-2012,9ème édition

 Bleu Toxic : Prix Accrolire 2011, Prix 2011 Lire... élire en Moselle ! / Prix Ado-lisant 2012 / Prix littéraire des collégiens de Haute-Savoie 2012

 Silence, on irradie : Prix des lycéen autrichiens 2012 / Prix des lycéens allemands 2011 / Prix J’ai lu, j’élis 2011 / Prix Lire en Seine 2011 / Prix Littéraire de la Citoyenneté 2011 / Prix Ados de la Télévision Suisse Romande (TSR) 2011 / Prix Ados 2011 des Médiathèques de Saumur Agglo 2011 / Prix Livrentête Bibliothèque pour tous 2011 / Prix Inter-collèges 2011 (réseau des médiathèques du Bourget-Drancy-Dugny) / Prix François Villon 2011 / Prix des Embouquineurs 2011 / Prix 2011 des Collégiens de l’Estuaire

Interview publiée dans la revue "Sortir du nucléaire" n°54 :

Marier la fiction et l’engagement / Entretien avec le romancier Christophe Léon

Après des études aux Beaux-Arts et un début de carrière de joueur professionnel de tennis, Christophe Léon a décidé de prendre la plume. Ses romans, désormais à destination de la jeunesse, se confrontent à des sujets engagés (https://www.christophe-leon.fr).

Au vu de ton parcours on se demande comment tu en es venu à la littérature ?

Ce fut un hasard ; quand en 1995 j’ai arrêté toute activité pour me consacrer à mes cinq enfants je me suis retrouvé à avoir du temps libre. J’ai commencé par peindre, j’avais étudié aux Beaux Arts à Marseille. Mais en 2000 je me suis retrouvé bloqué au lit, problème de dos, et du coup j’ai pris un stylo et je me suis lancé.

As-tu tout de suite écrit des ouvrages pour la jeunesse ?

Non, j’ai commencé par des livres pour adultes. Mon premier livre qui pourrait s’adresser aux jeunes fut Tu t’appelles Amandine Keddha publié en 2002. Mais mon premier vrai titre pour la jeunesse fut publié en 2006, il s’agissait de Longtemps. Ce fut en réponse à une demande de ma fille, depuis j’ai majoritairement écrit pour ce public.

Tes livres ont-ils toujours été liés à des sujets engagés ?

Pas vraiment au départ. Mais après notre déménagement de Paris pour la Dordogne en 1995 je me suis peu à peu intéressé à ces sujets. J’ai donc été sensibilisé avant de devenir écrivain. Par exemple, il y a déjà plusieurs années, je manifestais à Toulouse contre le projet de réacteur EPR. Le premier récit qui dénoncerait une situation serait celui sur la télévision, Écran plat, que nous ne possédons pas à la maison. Puis c’est venu petit à petit, surtout depuis que j’écris pour la jeunesse.

Comment choisis-tu les thématiques que tu traites ?

Je n’ai aucune pression ou commande. Je travaille comme je veux, comme j’ai envie. Jusqu’à présent j’ai toujours réussi à publier, je n’ai essuyé aucun refus. Il est souvent plus facile d’éditer des fictions "engagées" dans les collections jeunesses que dans celles pour adultes.

Maintenant je choisi des sujets qui traitent de thématiques environnementales et industrielles ou environnementales et sociales. Un de mes derniers livres est un recueil de nouvelles autour de la désobéissance civile : les déboulonneurs, la guérilla jardinière, la lutte antinucléaire, etc.

Comment tes ouvrages sont-ils perçus ?

J’effectue de nombreuses rencontres scolaires. Le livre qui marche le mieux est Silence on irradie qui a été sélectionné au Prix des Lycéens en Autriche. En Allemagne, j’ai été invité à Stuttgart pour présenter le livre à des élèves qui passent l’équivalent de notre bac, section français. Le livre est au programme de l’éducation nationale en Allemagne.

En France, ce n’est pas la même chose. Il faut être très prudent sur ce que l’on va dire. Mais il arrive aussi que je sois invité pour donner un autre son de cloche que celui des interventions d’EDF dans les écoles.

J’ai été dans le Bugey deux semaines après Fukushima. Le message des pronucléaires locaux était que tout cela ne peut pas arriver chez nous. Et dans le public il y a une grande ignorance, même chez les adultes, sur le nucléaire et ses dangers. Beaucoup en sont encore au nucléaire ou la bougie ! Ils sont plus dérangés par le bruit des éoliennes dans leur environnement que par les lointaines centrales nucléaires.

Quels sont tes projets ?

Avec Philippe Godard, qui a travaillé avec les éditions Syros, Autrement et La Martinière, nous voulons lancer une collection pour la jeunesse et attendons la réponse d’un éditeur. Nous voulons garder les coudées franches pour pouvoir traiter à notre manière du nucléaire, des OGM, de l’agroalimentaire, de Monsanto, etc. Nous voudrions publier à un rythme de quatre livres par an. C’est en transaction.

Sinon, mes deux prochains ouvrages traiteront respectivement de l’esclavage moderne et du suicide en entreprise. Le premier sujet m’a été inspiré après avoir appris l’arrestation d’un ambassadeur étranger qui séquestrait à Paris une jeune fille de son pays pour le servir. Le second sujet quant à lui est connu de tous, mais si on regarde d’un peu plus près on se rend compte que c’est toujours quand une entreprise publique se retrouve privatisée qu’il y a des vagues de suicides !

Propos recueillis par Jocelyn Peyret

Auteur-romancier, Christophe Léon consacre ses romans à destination de la jeunesse et sur des sujets engagés.

Romans :

 Tu t’appelles Amandine Keddha, Le Rouergue, coll. « La brune », 2002 (Littérature générale, roman)

 Palavas la Banche, Le Rouergue, coll. « La brune », 2003 (Littérature générale, roman)

 Longtemps, L’école des loisires, coll. « Neuf », 2006 (Littérature jeunesse, roman)

 Quatre jours dans la vie de Thorpe, mise en scène Jean-Pierre Vidotto, 2006/2007 (Théâtre)

 Journal d’un étudiant japonais à Paris, éd. du Serpent à plumes, 2007 (Littérature générale, roman)

 Nénuphar Grigrimaldit, Alice éditions - avril 2007 (Littérature jeunesse, roman)

 Lilas doit pleurer et les moustiques piquer Jeancri, éd. Oskar jeunesse, 2007 (Littérature jeunesse, roman)

 Pas demain la veille, éd. Thierry Magnier, 2007 (Littérature jeunesse, roman)

 Beaux-arts, col, Fulgurances, éd. du Somnambule équivoque, 2008 (Littérature générale, roman)

 Noces d’airain, éd Arhsens, 2008 (Littérature générale, roman)

 Grand-père, Oskar jeunesse - mai 2008 (Littérature jeunesse)

 Écoloco, une alter-friction, coll. « Dérapages », éd. Somnambule équivoque, 2008 (Littérature générale, essai)

 La guerre au bout du couloir ,Thierry Magnier - octobre 2008 (Littérature jeunesse, roman) Prix NRP 2009

 Nouvelles re-vertes, éd. Thierry Magnier, Collectif, 2008 (Littérature jeunesse, nouvelles)

 Je suis Richard Brautigan, coll. « Short Stories », éd. Somnambule équivoque, 2009 (Littérature générale, nouvelles)

 Écran plat, coll. « Dérapages », éd. Somnambule équivoque, 2009 (Littérature générale, essai)

 Dans l’enfer de Dante, La Joie de Lire - janvier 2009 (Littérature jeunesse, roman)

 Mi-Figue mi-raisin , La Joie de Lire, coll. « Rétroviseur » - août 2009 (Littérature générale/jeunesse, récit autobiographique)

 Silence, on irradie, éd. Thierry Magnier, 2009 (Littérature jeunesse, roman) Prix François Villon 2011

 Bleu Toxic - avril 2010, Le Seuil, coll. « Karactère(s) » (Littérature jeunesse, roman)

 Granpa’, éd. Thierry Magnier - août 2010 (Littérature jeunesse, roman)

 Délit de fuite, La Joie de Lire, coll. Encrage - janvier 2011 (Littérature jeunesse, roman)

 Gros malheurs, coll. « Short Stories », éd. Somnambule équivoque, avril 2011 (Littérature générale, nouvelles)

 Argentina, Argentina..., Oskar éditeur, à paraître le 23 août 2011 (Littérature jeunesse, roman)

 Désobéis !, éditions Thierry Magnier, coll. Nouvelles - à paraître le 05 octobre 2011 (Littérature jeunesse, nouvelles)

 Le goût de la tomate, éd. Thierry Magnier, coll. Petite Poche - à paraître le 5 octobre 2011 (Littérature jeunesse, roman)

Ouvrages en sélection pour un prix en 2011 & 2012

 Délit de fuite : Prix de la citoyenneté 2012 / Prix littéraire des Maisons Familiales Rurales (MFR) de Maine et Loire 2012

 Granpa’  : Prix collégiens 2011 du Musée des Confluences / Prix des Incorruptibles 2012 cat. CM2/6e / Prix Chronos 2012 cat. CM1/CM2 / Prix Chronos-Pro Senectute 2012 / Prix Ados du Cript Bretagne 2011-2012,9ème édition

 Bleu Toxic : Prix Accrolire 2011, Prix 2011 Lire... élire en Moselle ! / Prix Ado-lisant 2012 / Prix littéraire des collégiens de Haute-Savoie 2012

 Silence, on irradie : Prix des lycéen autrichiens 2012 / Prix des lycéens allemands 2011 / Prix J’ai lu, j’élis 2011 / Prix Lire en Seine 2011 / Prix Littéraire de la Citoyenneté 2011 / Prix Ados de la Télévision Suisse Romande (TSR) 2011 / Prix Ados 2011 des Médiathèques de Saumur Agglo 2011 / Prix Livrentête Bibliothèque pour tous 2011 / Prix Inter-collèges 2011 (réseau des médiathèques du Bourget-Drancy-Dugny) / Prix François Villon 2011 / Prix des Embouquineurs 2011 / Prix 2011 des Collégiens de l’Estuaire

Interview publiée dans la revue "Sortir du nucléaire" n°54 :

Marier la fiction et l’engagement / Entretien avec le romancier Christophe Léon

Après des études aux Beaux-Arts et un début de carrière de joueur professionnel de tennis, Christophe Léon a décidé de prendre la plume. Ses romans, désormais à destination de la jeunesse, se confrontent à des sujets engagés (https://www.christophe-leon.fr).

Au vu de ton parcours on se demande comment tu en es venu à la littérature ?

Ce fut un hasard ; quand en 1995 j’ai arrêté toute activité pour me consacrer à mes cinq enfants je me suis retrouvé à avoir du temps libre. J’ai commencé par peindre, j’avais étudié aux Beaux Arts à Marseille. Mais en 2000 je me suis retrouvé bloqué au lit, problème de dos, et du coup j’ai pris un stylo et je me suis lancé.

As-tu tout de suite écrit des ouvrages pour la jeunesse ?

Non, j’ai commencé par des livres pour adultes. Mon premier livre qui pourrait s’adresser aux jeunes fut Tu t’appelles Amandine Keddha publié en 2002. Mais mon premier vrai titre pour la jeunesse fut publié en 2006, il s’agissait de Longtemps. Ce fut en réponse à une demande de ma fille, depuis j’ai majoritairement écrit pour ce public.

Tes livres ont-ils toujours été liés à des sujets engagés ?

Pas vraiment au départ. Mais après notre déménagement de Paris pour la Dordogne en 1995 je me suis peu à peu intéressé à ces sujets. J’ai donc été sensibilisé avant de devenir écrivain. Par exemple, il y a déjà plusieurs années, je manifestais à Toulouse contre le projet de réacteur EPR. Le premier récit qui dénoncerait une situation serait celui sur la télévision, Écran plat, que nous ne possédons pas à la maison. Puis c’est venu petit à petit, surtout depuis que j’écris pour la jeunesse.

Comment choisis-tu les thématiques que tu traites ?

Je n’ai aucune pression ou commande. Je travaille comme je veux, comme j’ai envie. Jusqu’à présent j’ai toujours réussi à publier, je n’ai essuyé aucun refus. Il est souvent plus facile d’éditer des fictions "engagées" dans les collections jeunesses que dans celles pour adultes.

Maintenant je choisi des sujets qui traitent de thématiques environnementales et industrielles ou environnementales et sociales. Un de mes derniers livres est un recueil de nouvelles autour de la désobéissance civile : les déboulonneurs, la guérilla jardinière, la lutte antinucléaire, etc.

Comment tes ouvrages sont-ils perçus ?

J’effectue de nombreuses rencontres scolaires. Le livre qui marche le mieux est Silence on irradie qui a été sélectionné au Prix des Lycéens en Autriche. En Allemagne, j’ai été invité à Stuttgart pour présenter le livre à des élèves qui passent l’équivalent de notre bac, section français. Le livre est au programme de l’éducation nationale en Allemagne.

En France, ce n’est pas la même chose. Il faut être très prudent sur ce que l’on va dire. Mais il arrive aussi que je sois invité pour donner un autre son de cloche que celui des interventions d’EDF dans les écoles.

J’ai été dans le Bugey deux semaines après Fukushima. Le message des pronucléaires locaux était que tout cela ne peut pas arriver chez nous. Et dans le public il y a une grande ignorance, même chez les adultes, sur le nucléaire et ses dangers. Beaucoup en sont encore au nucléaire ou la bougie ! Ils sont plus dérangés par le bruit des éoliennes dans leur environnement que par les lointaines centrales nucléaires.

Quels sont tes projets ?

Avec Philippe Godard, qui a travaillé avec les éditions Syros, Autrement et La Martinière, nous voulons lancer une collection pour la jeunesse et attendons la réponse d’un éditeur. Nous voulons garder les coudées franches pour pouvoir traiter à notre manière du nucléaire, des OGM, de l’agroalimentaire, de Monsanto, etc. Nous voudrions publier à un rythme de quatre livres par an. C’est en transaction.

Sinon, mes deux prochains ouvrages traiteront respectivement de l’esclavage moderne et du suicide en entreprise. Le premier sujet m’a été inspiré après avoir appris l’arrestation d’un ambassadeur étranger qui séquestrait à Paris une jeune fille de son pays pour le servir. Le second sujet quant à lui est connu de tous, mais si on regarde d’un peu plus près on se rend compte que c’est toujours quand une entreprise publique se retrouve privatisée qu’il y a des vagues de suicides !

Propos recueillis par Jocelyn Peyret



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