Trop de pression au travail. Le comité d’hygiène et de sécurité de la centrale nucléaire a fait valoir son droit d’alerte. Une première.
« Des salariés pleurent au boulot. Certains en viennent aux mains parce qu’ils manquent d’outillage. Le personnel est à cran, la pression de la intense », témoigne Philippe Page, délégué CGT de la centrale nucléaire de Flamanville. « Depuis l’ouverture du capital d’EDF en 2004, le climat se dégrade dans les centrales. »
Vendredi dernier, le CHSCT a (...)