Christian Bataille a réussi à faire l’unanimité autour de lui. Au mécontement des opposants à l’enfouissement des déchets radioactifs, qui ont vu la nomination de ce "nucléocrate" à la présidence du CLIS de Bure comme une provocation, s’ajoute désormais la fronde de tous ceux -et ils sont nombreux- qui reprochent au député du Nord une mauvaise gouvernance de ce qui est censé être une instance d’information et de suivi du laboratoire souterrain.
Jeudi dernier, en l’absence de l’intéressé, (...)