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Au Salon des maires pour exiger des élus qu’ils refusent le nucléaire

Action en cours à Paris

Article publié le 21 novembre 2019



Le jeudi 21 novembre, des militant·es ont mené une action devant le Congrès et le Salon des maires et des collectivités locales afin d’interpeller les acteurs des territoires. L’objectif ? Qu’ils s’engagent à refuser tout nouveau projet d’installation nucléaire.



Les 19, 20 et 21 novembre se tient à Paris le Congrès et le Salon des maires et des collectivités locales. Destiné aux élus locaux et aux fonctionnaires territoriaux, cet événement met en relation des entreprises avec les acteurs qui participent aux achats et aux investissements dans les régions. EDF – qui aura un stand sur le salon – entend vendre 6 EPR à plusieurs régions, à la demande de l’État, et prospecte pour acquérir des terres autour des centrales nucléaires existantes. L’État cherche également à implanter une méga-piscine de combustibles usés, le projet Cigéo à Bure ou encore la laverie de linge contaminé à Joinville... (Découvrir ici la carte de tous les nouveaux projets nucléaires)

La vingtaine de militant·es a distribué des tracts informatifs qui cartographient les nouvelles installations nucléaires en chantier ou en projet et incitent les élu·es à s’y opposer. Certain·es élu·es ont signé la pétition pour marquer leur refus du nucléaire.

Au moment où certain·es élu·es affichent leur souhait d’accueillir de nouveaux EPR, il est essentiel que d’autres s’engagent contre ces nouveaux projets dangereux et polluants.

En effet, accepter ces nouveaux projets, c’est participer à la relance d’une filière à bout de souffle et c’est se priver d’opportunités d’enclencher une transition énergétique réellement écologique, sans le charbon ni le nucléaire mais avec les énergies renouvelables, l’efficacité et la sobriété énergétique.

Accepter une INB (Installation nucléaire de base) dans sa région, c’est signer pour :


 la désertification d’un territoire gangrené par le nucléaire,
 la dégradation de l’image des produits de la région,
 une perte d’attractivité pour les communes,
 le risque d’accident, de pollution des rejets chimiques et radioactifs,
 les transports à haut risque de matières et de déchets radioactifs,
 la division des citoyens entre ceux qui acceptent le projet et ceux qui le refusent.

Le tout au mépris d’un vrai développement local, de la santé et la sécurité des populations.

Pour participer à la vague d’interpellation et de pression sur les élus locaux, 1ère étape : je signe la pétition !

Le nucléaire tue l’avenir ! Arrêtons le !

Les 19, 20 et 21 novembre se tient à Paris le Congrès et le Salon des maires et des collectivités locales. Destiné aux élus locaux et aux fonctionnaires territoriaux, cet événement met en relation des entreprises avec les acteurs qui participent aux achats et aux investissements dans les régions. EDF – qui aura un stand sur le salon – entend vendre 6 EPR à plusieurs régions, à la demande de l’État, et prospecte pour acquérir des terres autour des centrales nucléaires existantes. L’État cherche également à implanter une méga-piscine de combustibles usés, le projet Cigéo à Bure ou encore la laverie de linge contaminé à Joinville... (Découvrir ici la carte de tous les nouveaux projets nucléaires)

La vingtaine de militant·es a distribué des tracts informatifs qui cartographient les nouvelles installations nucléaires en chantier ou en projet et incitent les élu·es à s’y opposer. Certain·es élu·es ont signé la pétition pour marquer leur refus du nucléaire.

Au moment où certain·es élu·es affichent leur souhait d’accueillir de nouveaux EPR, il est essentiel que d’autres s’engagent contre ces nouveaux projets dangereux et polluants.

En effet, accepter ces nouveaux projets, c’est participer à la relance d’une filière à bout de souffle et c’est se priver d’opportunités d’enclencher une transition énergétique réellement écologique, sans le charbon ni le nucléaire mais avec les énergies renouvelables, l’efficacité et la sobriété énergétique.

Accepter une INB (Installation nucléaire de base) dans sa région, c’est signer pour :


 la désertification d’un territoire gangrené par le nucléaire,
 la dégradation de l’image des produits de la région,
 une perte d’attractivité pour les communes,
 le risque d’accident, de pollution des rejets chimiques et radioactifs,
 les transports à haut risque de matières et de déchets radioactifs,
 la division des citoyens entre ceux qui acceptent le projet et ceux qui le refusent.

Le tout au mépris d’un vrai développement local, de la santé et la sécurité des populations.

Pour participer à la vague d’interpellation et de pression sur les élus locaux, 1ère étape : je signe la pétition !

Le nucléaire tue l’avenir ! Arrêtons le !