par Martine Orange
La déconvenue est de taille pour Anne Lauvergeon. Depuis des mois, la présidente du directoire d’Areva travaille d’arrache-pied pour obtenir l’ouverture du capital de son groupe. Elle l’espérait au printemps 2004, puis à l’automne, juste avant le départ de Nicolas Sarkozy de Bercy, avant de militer pour être parmi les premières privatisations de 2005, pariant sur la fin mai pour enfin se rabattre sur "la fin de l’été", comme annoncé par Hervé Gaymard en janvier. (...)