Des associations accusent le groupe nucléaire français de ne pas avoir informé d’anciens travailleurs de son site d’uranium au Gabon des risques sanitaires.
Areva pensait peut-être en avoir fini avec ces maudites ONG. Et plus particulièrement l’association de juristes internationaux Sherpa. Le groupe nucléaire français avait tant bien que mal réussi à éteindre le feu médiatique allumé par Sherpa en 2005 sur les conditions sanitaires d’exploitation de sa mine d’uranium d’Arlit au Niger ( (...)