Le champion français du nucléaire, qui estime avoir besoin d’environ 3 milliards d’euros pour assurer sa croissance, continue de faire pression sur l’Etat, en acceptant des cessions d’actifs non stratégiques. Mais d’autres scénarios sont aussi sur la table. Le dossier, très politique, peut se débloquer à tout moment.
Anne Lauvergeon accentue la pression. « S’il n’y a pas d’augmentation de capital, nous serons obligés de revoir nos investissements à la baisse », a déclaré hier au « Monde (...)