PARIS — Après l’accident de Fukushima au Japon, la France a repoussé jeudi l’idée d’un moratoire ou d’un coup d’arrêt à l’EPR de Flamanville (Manche), seule centrale nucléaire en construction dans l’Hexagone, alors que l’autorité de sûreté nucléaire (ASN) se pose la question.
Ce sont des déclarations du président de l’ASN André-Claude Lacoste qui ont mis le feu aux poudres et relancé le débat sur la nécessité de construire ou non des réacteurs nucléaires de troisième génération.
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